Quoi qu’il en soit, je vois OM assis tranquillement sur un banc, l’air assez préoccupé par une activité manuelle doublée d’une surveillance continue des alentours. C’est alors qu’il m’aperçoit, arrivant vers lui. Je vois que clairement il est en train se préparer à rouler un joint, avant de passer une après midi de cours. Ce sur quoi je lui demande si je peux le rejoindre après que j’ai mangé, pour partager avec lui cette cigarette qui fait planer. Il accepte et me dit qu’il doit pas trop traîner avant de retourner à l’école. Donc, l’idée c’est que je dois me grouiller d’aller bouffer pour pouvoir revenir à coté des terrains de tennis si jamais j’ai un peu envie de planer cet après midi.
Je rentre donc chez moi au pas de course, je rentre comme une furie, me jette à table sur le truc déjà prêt : une moussaka maison. Très bonne, avec de l’aubergine fraîche et bien cuite, une bonne viande hachée, du riz, … la bonne moussaka maison que je dévore en presque une minute. Je me souviens. Chrono, j’ai pas mis très longtemps avant de l’engloutir ma moussaka, obsédé par l’idée du joint promis.
J’ai donc dévoré mon déjeuner, et encore la bouche pleine, je me jette hors de chez moi pour aller retrouver OM près des tennis.
Au final j’ai pas mal bouffé, et beaucoup trop vite, par-dessus quoi je cours pour rejoindre OM. Il y a quoi, allez, 300 mètres entre chez moi et les bancs des terrains de tennis. Je cours mais comme un dératé alléché par l’appel du joint de début d’après midi avant les cours. J’arrive essoufflé aux terrains de tennis, où il vient juste de finir de rouler son joint. Dans lequel il a été généreux, car très fort, effets immédiats, la fracture avec le réel se creuse à la première bouffée, je sais que cette après midi je vais planer. L’idée me ravi, l’après midi va être très cool… Me dis-je. Sans savoir…
mercredi 12 février 2025
Le jour où j'ai dégueulé avec un froc blanc - Acte V
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