mardi 29 juillet 2008
dimanche 27 juillet 2008
samedi 19 juillet 2008
Revue de presse - 1993
Voici l'ensemble des articles de presse que j'ai pu récolter. Il y a de quoi lire. Les journalistes ont pas mal écrits à l'époque sur le sujet.
Voici l'avis de la presse sur l'IPES, sous toutes les tonalités sous lesquelles cette école s'est montrée, en 1993Voici donc la liste la plus complète possible des articles de presses sur l'IPES. Non exhaustive je pense.
Pour ce qui est des dates, tout est de 1993. A priori. Mais rien n'est moins certain... Selon les infos c'est ça, mais restez circonspect, comme d'hab, face à ce qui est lu sur le web ;)
Certains risquent peut être de se reconnaitre. Mais étant donné la qualité des images, c'est peu probable. Toutefois, si jamais certaines images viennent à ne pas plaire aux sujets photographiés, on en parle, je les supprime.
Bonne lecture.
Libellés :
Presse
dimanche 13 juillet 2008
Revue de presse 1990
Il Terrorista.
Ou comment il évoque l'actualité à l'aide du format cinématographique des western de Sergio Leone, sous une musique de Morricone. Bien connue et géniale bande originale des western spaghetti avec le grand, l'inénarrable Clint Eastwood.
Le truc c'est de refaire l'ambiance des film de Leone sur scène.
Le truc principal dont je me souviens, c'est que toute l'équipe à passé son temps à chronométrer les temps de paroles, et les temps de pause dans les films. tout ça pour en arriver à la conclusion qu 'il y a plus de temps de pause que de temps de parole, et qu'ainsi, voici comment la pièce doit être écrite: moins de texte, plus de temps de pause, à la Sergio Leone, où le héros se prépare au duel sous un soleil de plomb, dans cette rue déserte d'une ville du far west, puis face à face, pendant des minutes interminables, les deux protagonistes du duel se jaugent, s'évaluent, sous une musique envoutante de Ennio Morricone (et vas-y que je me sers des œuvres des autres)... Peu de dialogues, très peu pour cette pièce. Ce qui en fait sa valeur? Au moins on a pu se concentrer sur le reste. Ce qui a été fait par les élèves et qui est pas mal du tout. Des éclairages aux décors, c'est une jolie pièce, mais... Mais ces pièces sont des moments incompréhensibles et chiants comme la mort, pour reprendre cette expression souvent usitée de laquelle je viens de me rappeler. Ca vous dit rien ça? Je suis assez sur de moi, mais je demande confirmation.
Il est vrai que cette pièce est une des meilleures dans mon souvenir. Pour comparer, j'ai envie de dire que c'est un spectacle de fin d'année d'une troupe amateur assez réussi. Pour rappel mon jugement sur ces pièces n'engage que moi. J'ai déjà dit que je les trouves sans grand intérêt, et là je reste dans les euphémismes. J'en ai mis deux en ligne pour que l'on puisse se faire un avis sur ce qui est joué à l'IPES à l'époque où j'y suis.A vous de voir aussi. Bonne lecture soit dit en passant.
Les journalistes de l'époque sont assez séduits par les pièces.
Voici une première session d'une revue de presse que je vais alimenter au fur et à mesure, mais qui ne pourra pas être exhaustive.
Ou comment il évoque l'actualité à l'aide du format cinématographique des western de Sergio Leone, sous une musique de Morricone. Bien connue et géniale bande originale des western spaghetti avec le grand, l'inénarrable Clint Eastwood.
Le truc c'est de refaire l'ambiance des film de Leone sur scène.
Le truc principal dont je me souviens, c'est que toute l'équipe à passé son temps à chronométrer les temps de paroles, et les temps de pause dans les films. tout ça pour en arriver à la conclusion qu 'il y a plus de temps de pause que de temps de parole, et qu'ainsi, voici comment la pièce doit être écrite: moins de texte, plus de temps de pause, à la Sergio Leone, où le héros se prépare au duel sous un soleil de plomb, dans cette rue déserte d'une ville du far west, puis face à face, pendant des minutes interminables, les deux protagonistes du duel se jaugent, s'évaluent, sous une musique envoutante de Ennio Morricone (et vas-y que je me sers des œuvres des autres)... Peu de dialogues, très peu pour cette pièce. Ce qui en fait sa valeur? Au moins on a pu se concentrer sur le reste. Ce qui a été fait par les élèves et qui est pas mal du tout. Des éclairages aux décors, c'est une jolie pièce, mais... Mais ces pièces sont des moments incompréhensibles et chiants comme la mort, pour reprendre cette expression souvent usitée de laquelle je viens de me rappeler. Ca vous dit rien ça? Je suis assez sur de moi, mais je demande confirmation.
Il est vrai que cette pièce est une des meilleures dans mon souvenir. Pour comparer, j'ai envie de dire que c'est un spectacle de fin d'année d'une troupe amateur assez réussi. Pour rappel mon jugement sur ces pièces n'engage que moi. J'ai déjà dit que je les trouves sans grand intérêt, et là je reste dans les euphémismes. J'en ai mis deux en ligne pour que l'on puisse se faire un avis sur ce qui est joué à l'IPES à l'époque où j'y suis.A vous de voir aussi. Bonne lecture soit dit en passant.
Les journalistes de l'époque sont assez séduits par les pièces.
Voici une première session d'une revue de presse que je vais alimenter au fur et à mesure, mais qui ne pourra pas être exhaustive.
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Presse
jeudi 10 juillet 2008
Sondage
Voici le résultat du sondage auquel la plus grande population ait participé.
On trouve tout de même plus de votant ayant passé une longue période à l'IPES...
++
On trouve tout de même plus de votant ayant passé une longue période à l'IPES...
++
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Sondage
jeudi 3 juillet 2008
D'un commentaire, je fais finalement un post...
... Ce qui me permet de rajouter une image fort à propos. J'ai volontairement masqué le nom de la journaliste qui a écrit cet article, retranscrit pour l'occase. Je pense qu'aujourd'hui cette nana a grandie et a compris dans quelle piège de l'image elle est tombée, il y maintenant presque 20 balais. La pauvre, elle devait commencer son boulot dans le journalisme, pleine d'innocence, d'envie et d'illusion, prête à croire tout et n'importe quoi. Surtout quand c'est raconté par un mec qui se veut beau, qui roule en porsche et qui se fait applaudir partout où il va, dans l'école... Donc pour lui épargner la honte d'avoir écrit ça, j'ai masqué son nom. Mais néanmoins, je ne peux m'empêcher de publier cet article qui commente une pièce de FC: Shining...
Bon voila, c'était marrant.
Pour encore raconter une ou deux conneries, je reviens sur un com dans le post précédent, posté par Anonyme. Tout le monde (les trois personnes qui lisent mon blog) voit très bien qui c'est, il écrit plein de com partout!
Dans un de mes posts, j'ai parlé d'un truc: l'autodiscipline. Il est vrai que la frontière entre celle-ci et le fascisme est assez intangible, pas forcément claire. Il me semble qu'ici, nous avons un exemple de celle qui me sied, le bon coté... On ne tombe pas dans la délation ni dans le lynchage, et ceux qui dérapent un peu, je parle là d' "anonyme", se font remettre à l'endroit.
Hé mec, toi qui est du coté de la clic plus que de celui de ceux qui sont partis ou qui n'y sont jamais rentrés, tu fais doubler la fréquentation du blog à chaque fois que tu dis un truc. Si tu continues, je vais activer les pubs. Je vais me faire du blé grâce à toi ;)
Pour parler plus sérieusement, je ne sais pas qui tu es, si comme tout le monde a l'air de le dire que tu es GP... Si tu es quelqu'un encore dans la clique ou un frustré qui s'en est fait viré, laisse moi te dire que tu as raison. Merci, oui. C'est ça mec. Tu vois juste. Bien vu.
C'est à cause de lui que chacun a pu se construire. A cause ouais. Pas grâce. Je ne peux prendre que l'exemple que je connais le mieux: moi!
Normalement, le directeur de ton école, celle ou tu apprends et suis les cours, c'est un mec en qui tu as confiance, qui est censé t'apporter la connaissance grâce, et là je le souligne le grâce, et bien grâce aux profs qui l'entourent, tu apprends et te construit dans ce monde de taré. On va pas discuter le "normalement" ok? Donc ce mec, à qui tu donnes des droits sur la manière dont tu vas t'éduquer tu es censé lui faire confiance.
Une fois arrivé là, si d'un coup le mec dont tu ne dois pas avoir peur car il est "a priori" le mec qui va t'accompagner dans une grande partie de ton adolescence se met à t'humilier en public à répétition, la donne est différente. Tu apprends à te défendre.
Donc, ok, je me suis construit relativement à ce qu'il m'a appris dans cette école, comme beaucoup d'entre nous.
Entre parenthèse, je dois préciser que quand je dis "Il", j'inclue tous les zouaves qui accompagnent ce mec dont on parle.
Mais je dois employer un image pour montrer comment je vois les choses.
on prend deux élèves, ayant dans l'idéal exactement les même capacités d'apprentissage.
L'objectif, c'est apprendre par exemple les champs d'applications du théorèmes de Cauchy-Lipschitz. C'est parfait que personne ne sache de quoi ça parle, comme ça mon image reste un exemple abstrait.
Le premier élève, on lui donne les meilleurs profs. Les meilleurs cours, la meilleure des pédagogie. Un lieu de travail confortable, des gonzesses nues pour le distraire quand il en marre du calcul différentiel (là ou on applique le théorème de Cauchy-Lipschitz), tout bien pour bosser tranquille en fait. Juste entre parenthèse, je crois que dans ce cadre j'aurai pu majorer mes diplômes... Peu importe.
Le second élève, on le met dans une cellule. On lui donne un bouquin sur le calcul différentiel en général. On lui dit tu apprends Le théorème de Cauchy Lipschitz pour demain. Le lendemain, si il n'a pas appris le truc par coeur, ceci vérifié par des questions ultra vicieuses qui portent sur les notes de bas de pages du bouqin, et bien le mec tu lui donne deux coups de fouet.
Etant donné qu'il ne le saura pas entièrement le lendemain, il prend les coups de fouet. Puis, tu répètes. Tu apprends ça pour demain.
Le mec, on peut être sur qu'il sait le calcul différentiel en quelques jours. Et le thèorème de Cauchy-Lipschitz n'est finalement qu'un détail du calcul diff.
Alors que l'autre il a pas fini de lire l'intro du premier bouquin qui présente le cal diff, et qu'il est plus occupé à regarder les nanas à poil danser pour le divertir...
Tout ça pour dire quoi? Dans les deux cas on se construit. A toi de voir quel est celui qui te conviendra le mieux. Oui, oui ok, je sais, mon image est assez exagérée. J'en conviens. C'est ultra exagéré, mais c'est pour montrer que l'on se construit dans toute conditions, mais que certaines sont plus structurantes que d'autres. Je ne dis pas que de regarde des nanas à poil danser soit ce qu 'il y a de plus structurant, mais c'est plus un pour déconner un peu quand même et deux préciser qu'il faut bien voir ça comme une image, qui effectivement, est exagérée, et peut être absconse.
En tout cas, dans cette histoire, je dois reconnaître que aussi ironique que ce soit, il m'a apporté beaucoup plus que moi je lui ai apporté. En tout cas je me suis servis, dans le grand foutoir innommable de cette école, je me suis servis, et j'ai appris exactement ce que je voulais. Malheureusement, ma curiosité n'allait pas vers chaque domaine de la connaissance qui m'aurait permis d'avance un peu plus vite... Autant j'ai appris ce que je voulais, mais je 'ai pas échappé à des épreuves assez extrêmes pour un môme de 16 balais, à plus ou moins deux ans prêts, qui vont des humiliations publiques, au cours gonflant en amphi avec l'autre qui frimait pendant des plombes.
Donc ouais, en même temps, anonyme, je reconnais avoir appris pas mal là bas. Mais je me suis pas oublié. Jamais. Je suis toujours resté à l'écart de ce groupe scindé autour de ce mec. Pas que je refuse d'endosser le rôle de Judas, mais là c'est pas très à propos. Je n'ai jamais cru en ce mec.
Pour finir, franchement, sans déconner, t'en a pas marre de jouer les victimes qui que tu sois? Genre l'incompris, victime de l'ignorance des moutons, toujours rivés au piquet de l'instant ;)
Autant je te dis à toi arrête de faire les victimes, mais tu vois il y a différentes choses qui me gênent ici. Ceux qui se portent en victimes m'exaspèrent, mais je les trouve assez drôles. En revanche, il y a un truc qui provoque chez moi un sentiment de malaise, ce sont ces accusations. Que je lis pas mal sur mon blog. Je lis ça, au fil des jours qui passent, et je ne sais pas quoi faire.
Je les laisse? Donc je suis d'accord? Je prends parti? Faut pas penser ça de manière aussi simpliste.
Je les supprime? Pareil. Je prends parti pour quelques uns dont je ne sais rien si ce n'est ce que j'en ai vu à l'école, dont toutes les activités extérieures à celles-ci me sont étrangères?
Donc je laisse les choses se raconter ici, librement... Mais bon, dès qu'on donne un peu de liberté, c'est tout de suite le bordel. Je me souviens d'une phrase, à l'origine en anglais, mais qui dit en somme: "Tu peux avoir la liberté ou la paix. Mais jamais les deux en même temps."
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Bon voila, c'était marrant.
Pour encore raconter une ou deux conneries, je reviens sur un com dans le post précédent, posté par Anonyme. Tout le monde (les trois personnes qui lisent mon blog) voit très bien qui c'est, il écrit plein de com partout!
Dans un de mes posts, j'ai parlé d'un truc: l'autodiscipline. Il est vrai que la frontière entre celle-ci et le fascisme est assez intangible, pas forcément claire. Il me semble qu'ici, nous avons un exemple de celle qui me sied, le bon coté... On ne tombe pas dans la délation ni dans le lynchage, et ceux qui dérapent un peu, je parle là d' "anonyme", se font remettre à l'endroit.
Hé mec, toi qui est du coté de la clic plus que de celui de ceux qui sont partis ou qui n'y sont jamais rentrés, tu fais doubler la fréquentation du blog à chaque fois que tu dis un truc. Si tu continues, je vais activer les pubs. Je vais me faire du blé grâce à toi ;)
Pour parler plus sérieusement, je ne sais pas qui tu es, si comme tout le monde a l'air de le dire que tu es GP... Si tu es quelqu'un encore dans la clique ou un frustré qui s'en est fait viré, laisse moi te dire que tu as raison. Merci, oui. C'est ça mec. Tu vois juste. Bien vu.
C'est à cause de lui que chacun a pu se construire. A cause ouais. Pas grâce. Je ne peux prendre que l'exemple que je connais le mieux: moi!
Normalement, le directeur de ton école, celle ou tu apprends et suis les cours, c'est un mec en qui tu as confiance, qui est censé t'apporter la connaissance grâce, et là je le souligne le grâce, et bien grâce aux profs qui l'entourent, tu apprends et te construit dans ce monde de taré. On va pas discuter le "normalement" ok? Donc ce mec, à qui tu donnes des droits sur la manière dont tu vas t'éduquer tu es censé lui faire confiance.
Une fois arrivé là, si d'un coup le mec dont tu ne dois pas avoir peur car il est "a priori" le mec qui va t'accompagner dans une grande partie de ton adolescence se met à t'humilier en public à répétition, la donne est différente. Tu apprends à te défendre.
Donc, ok, je me suis construit relativement à ce qu'il m'a appris dans cette école, comme beaucoup d'entre nous.
Entre parenthèse, je dois préciser que quand je dis "Il", j'inclue tous les zouaves qui accompagnent ce mec dont on parle.
Mais je dois employer un image pour montrer comment je vois les choses.
on prend deux élèves, ayant dans l'idéal exactement les même capacités d'apprentissage.
L'objectif, c'est apprendre par exemple les champs d'applications du théorèmes de Cauchy-Lipschitz. C'est parfait que personne ne sache de quoi ça parle, comme ça mon image reste un exemple abstrait.
Le premier élève, on lui donne les meilleurs profs. Les meilleurs cours, la meilleure des pédagogie. Un lieu de travail confortable, des gonzesses nues pour le distraire quand il en marre du calcul différentiel (là ou on applique le théorème de Cauchy-Lipschitz), tout bien pour bosser tranquille en fait. Juste entre parenthèse, je crois que dans ce cadre j'aurai pu majorer mes diplômes... Peu importe.
Le second élève, on le met dans une cellule. On lui donne un bouquin sur le calcul différentiel en général. On lui dit tu apprends Le théorème de Cauchy Lipschitz pour demain. Le lendemain, si il n'a pas appris le truc par coeur, ceci vérifié par des questions ultra vicieuses qui portent sur les notes de bas de pages du bouqin, et bien le mec tu lui donne deux coups de fouet.
Etant donné qu'il ne le saura pas entièrement le lendemain, il prend les coups de fouet. Puis, tu répètes. Tu apprends ça pour demain.
Le mec, on peut être sur qu'il sait le calcul différentiel en quelques jours. Et le thèorème de Cauchy-Lipschitz n'est finalement qu'un détail du calcul diff.
Alors que l'autre il a pas fini de lire l'intro du premier bouquin qui présente le cal diff, et qu'il est plus occupé à regarder les nanas à poil danser pour le divertir...
Tout ça pour dire quoi? Dans les deux cas on se construit. A toi de voir quel est celui qui te conviendra le mieux. Oui, oui ok, je sais, mon image est assez exagérée. J'en conviens. C'est ultra exagéré, mais c'est pour montrer que l'on se construit dans toute conditions, mais que certaines sont plus structurantes que d'autres. Je ne dis pas que de regarde des nanas à poil danser soit ce qu 'il y a de plus structurant, mais c'est plus un pour déconner un peu quand même et deux préciser qu'il faut bien voir ça comme une image, qui effectivement, est exagérée, et peut être absconse.
En tout cas, dans cette histoire, je dois reconnaître que aussi ironique que ce soit, il m'a apporté beaucoup plus que moi je lui ai apporté. En tout cas je me suis servis, dans le grand foutoir innommable de cette école, je me suis servis, et j'ai appris exactement ce que je voulais. Malheureusement, ma curiosité n'allait pas vers chaque domaine de la connaissance qui m'aurait permis d'avance un peu plus vite... Autant j'ai appris ce que je voulais, mais je 'ai pas échappé à des épreuves assez extrêmes pour un môme de 16 balais, à plus ou moins deux ans prêts, qui vont des humiliations publiques, au cours gonflant en amphi avec l'autre qui frimait pendant des plombes.
Donc ouais, en même temps, anonyme, je reconnais avoir appris pas mal là bas. Mais je me suis pas oublié. Jamais. Je suis toujours resté à l'écart de ce groupe scindé autour de ce mec. Pas que je refuse d'endosser le rôle de Judas, mais là c'est pas très à propos. Je n'ai jamais cru en ce mec.
Pour finir, franchement, sans déconner, t'en a pas marre de jouer les victimes qui que tu sois? Genre l'incompris, victime de l'ignorance des moutons, toujours rivés au piquet de l'instant ;)
Autant je te dis à toi arrête de faire les victimes, mais tu vois il y a différentes choses qui me gênent ici. Ceux qui se portent en victimes m'exaspèrent, mais je les trouve assez drôles. En revanche, il y a un truc qui provoque chez moi un sentiment de malaise, ce sont ces accusations. Que je lis pas mal sur mon blog. Je lis ça, au fil des jours qui passent, et je ne sais pas quoi faire.
Je les laisse? Donc je suis d'accord? Je prends parti? Faut pas penser ça de manière aussi simpliste.
Je les supprime? Pareil. Je prends parti pour quelques uns dont je ne sais rien si ce n'est ce que j'en ai vu à l'école, dont toutes les activités extérieures à celles-ci me sont étrangères?
Donc je laisse les choses se raconter ici, librement... Mais bon, dès qu'on donne un peu de liberté, c'est tout de suite le bordel. Je me souviens d'une phrase, à l'origine en anglais, mais qui dit en somme: "Tu peux avoir la liberté ou la paix. Mais jamais les deux en même temps."
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