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La formule utilisée par le journaliste Jean-François Dupaquier est bien trouvée : [(Fay Chemli) a le chic d'inventer ces fausses "phrases métaphysiques" qui font se pâmer des adolescents un peu paumés, en pleine crise d'identification]. Et le reste de son analyse est bien vue également.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerTout à fait d'accord Zoidberg!
RépondreSupprimerQui plus est, le chapeau de son article en dit long "Comment peut-on être aussi crédule?".
Ce qui fait écho à l'article de Roberto Crostofoli de la Gazette du Val d'Oise, publié sur ce blog, interpellant directement les parents d'élèves:
" Pourquoi (les parents) ne se sont ils pas constitués partie civile depuis le début de cette affaire? Ils pourraient ainsi avoir accès au dossier et bénéficier d'informations directes que de passer par des intermédiaires dont l'intérêt n'est pas forcément le même que les parents soucieux de l'avenir de leurs enfants(...)"
Dans un autre article, du 5 mai 1993, il le souligne à nouveau:
"Et(Les parents) se contentent de ce qu'on veut bien leur communiquer..."
A ma connaissance, personne ne s'est constitué partie civile au moment des faits. A ma connaissance, seulement...