Pas grand chose à dire si ce n'est ce concept d'école-village... Que peut on entendre par là? Est-ce un endroit, qui fait office d'école, mais qui dans ce coté village prétend à l'autosuffisance et ainsi, peut-être à l'autarcie? Sauf dans les représentations théâtrales, ou enfin, on s'ouvrait sur l'extérieur. Ou plutôt, on laissait rentrer un peu de l'extérieur dans l'école... Dans l'école-village?
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Bonjour,
RépondreSupprimerpeu de rapport avec le sujet, mais l'occasion d'évoquer une question qui peut etre n'est pas à propos. Elle concerne Mme D. tristement décédée. Y a t il eu une autre version ?
qui donc est D. un(e) prof, un parent.
RépondreSupprimerMadame D était une brillante prof de Français, pleine de vie, intelligente.
RépondreSupprimerUn jour, un des profs, je ne suis pas sûr de me souvenir de quel prof il s'agit, l'a trouvée assise sur une chaise dans l'établissement. Elle semblait dormir. Elle s'était en fait éteinte.
J'ai repensé à cette histoire, mais je n'ai pas cru bon de faire plus que l'évoquer.
Paix à son âme.
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RépondreSupprimerTu considéres le cinéma comme un milieu sain?
RépondreSupprimerje ne sais pas, je ne fréquente pas. De l'extérieur un panier de crabe avec quelques honnetes pationnés sans doute... Ce qui m'étonne c'est que ce milieu du cinéma etait tout proche dès Avernes de part les relations de certains élèves. Comment se fait il qu'il n'y ait pas eu d'impact ? A til eu une fin de non recevoir ? L'a til soigneusement évité ? etc ?
RépondreSupprimerpassionnés (et pas pationnés...)
RépondreSupprimerMme D est décédée d'une rupture d'anévrisme survenu en plein cours. Coma à l'arrivée des pompiers. Puis décès à l'hôpital.
RépondreSupprimerPas de prof qui la trouve endormie sur une chaise..., ça, c'est de la légende.
Rien à voir avec le schmilblick, juste un triste destin, et c'est tout. Laissez-la en paix. SVP.
Voila effectivement la version que l'on connait. Je demandais s'il y en avait eu d'autres. C'est une vielle question qui remonte précisément à cette époque parce qu'elle s'est posée en sourdine. Pour aller plus en avant dans cette question, le stress est un facteur majeur à cet age dans les causes d'accident vasculaire. Se trouvait-elle surmenée, moralement en difficulté etc... J'espere ne pas "systématiser" l'effet pervers et me demander jusqu'où allait son degres de menace au bon déroulement de la déviance.
RépondreSupprimerIl y a des causes à effets. Son décès n'a rien à voir avec l'ipes et serait survenu quoiqu'il en soi. Dans ce cas autant pour moi et je serais soulagé de cette réponse. Je ne souhaite en aucun cas lui manquer de respect et m'excuse aupres de ceux qui le percoive autrement.
Des questions sans réponse et à quoi bon j'en conviens. Mais je me permets de revenir dessus, encore une fois sans aucune volonté de manquer de respect.
Tout et surtout n'importe quoi a été dit au sujet de décès de Melle D. C'est bien une rupture d'anévrisme survenue en plein cours....Y'a vraiment pas de quoi épiloguer...
RépondreSupprimerPour en revenir à Mme D. bien que n’ayant aucune connaissance en médecine, j’avais remarqué qu’elle avait les gencives d’un violet presque noirâtre. Un copain qui était proche d’elle, ne s’en était pas aperçu, j’ignore si d’autres personnes pourraient en dire autant. Je lui expliquais qu’elle avait sans doute des problèmes de circulation sanguine voire de graves : qu’à mon sens, elle ne ferait pas de vieux os. Ensuite, avec subtilité, il en a convenu de même en ce qui concernait son état général. En effet, un an et demi après mon départ, elle rendit l’âme. Mes propos rejoignent ceux de l’anonyme un peu furax. L’anévrisme touche en général les vieilles personnes pas les jeunes. Donc….
RépondreSupprimerMais comment on peut être amené à dire autant de bétises, pour ne pas tomber dnas la vulgarité. Arrêtez la polémique sur cette histoire. Qu'on laisse sa mémoire tranquille, et surtout que les non médecins arrêtes les idioties... Tu n'as aucune connaissance en médecine, et bien ne la ramène pas.
RépondreSupprimerC’est bien ce que je dis, espèce de crétin, que j’avais fait un diagnostic entre guillemet qui correspond aux dires d’aujourd’hui. C’est un simple constat basé sur une observation que beaucoup n’avait pas remarqué. Entre nous, c’est toi qui a crée la légende, alors je t’en prie temporise.
RépondreSupprimerC'est marrant, mais qui c'est le crétin, celui qui dit qu'il n'y connait rien dans un domaine et qui écrits des bêtises plus grosses que lui (ou elle) en croyant sortir des vérités inconnues de tous... Je sais pas. Qui est le crétin, celui qui avance des choses sans ne rien connaitre et en insultant les autres... Comme je dis je ne sais pas, mais il y a des pistes de réflexions à te lire.
RépondreSupprimerDes pistes de reflexion à me lire : où veux-tu en venir?
RépondreSupprimerEncore une fois mes questions n'ont pas pour but de froisser.
RépondreSupprimerSi 20 ans après j'évoque ce sujet c'est qu'il m'arrive de penser aux morts et plutôt affectivement qu'en juge d'instruction. Effectivement elle est décédée et c'est dramatique, il a fallu faire avec plus facilement pour certains et plus difficilement pour d'autres.
Maintenant ce que j'évoquais était le facteur stress. Et le facteur stress que je questionne concerne sa position face à la dérive annoncée à cette époque. A l'heure où des profs semble t il honetes, histoire, biologie ou d'autres ayant attrapés le train en marche comme un prof d'espagnol extérieur, une prof de français beaucoup moins charismatique etc... tres engagés dans le respect de leurs éleves et sensibles au projet... sans parler de Mr D dont je ne connais pas les dessous alors qu'il était présent des le début, quittent l'établissement, comment Mme D qui faisait partie de ceux qui encore une fois semble t il ne faisait pas semblant, s'est elle positionnée avant qu'officielement d'autre le face ? En cela y a t il eu d'autres versions notamment liées au stress ?
Si parler de ce sujet reste difficile, et je le comprends, je pense néanmoins que l'on a le droit de se tromper, de changer d'avis, de s'excuser. Un crétin repenti vaut mieux qu'un malin apprenti. Mais il me semble et corrigez moi si je me trompe que l'on peut aussi s'accorder le droit d'évoquer tous les sujets qui restent dans les mémoires et parfois aussi dans les actualités.
La liberté de parole, la diversité de pensé contre l'idée unique.
Ok c'est pas non plus le lieu d'une thérapie ni individuelle ni de groupe. Mais si je reprends l'intro du blog (dont je remercie l'auteur et me reconnais dans l'évocation d'un "électrochoc...") "Les questions soulevées alors sont aujourd'hui toujours sans réponses.
Ce blog n'a aucunement la prétention d'y répondre, ni même de porter quelque jugement que ce soit..."
Parfois je parts en live dans mes questionnements du style jusqu'où la facon perverse de penser de quelqu'un d'autre est venue se greffer en moi malgres moi comme ca peut etre le cas a l'adolescence. Comme quand on reste longtemps ailleur et qu'on en prend l'accent, comme quand on fréquente quelqu'un et qu'on remarque un jour parler, bouger, se comporter parfois comme lui etc... comme quand on voit une vidéo d'un "jeune adulte" et que l'on reconnait la facon de maintenir de le discour, de scénariser d'un père... ha le père... adorer ou détester Zidane est peut etre plus honorable finalement.
Et puis par exemple pour rester conforme au "Ne pas dégueuler une prose qui fasse penser à la manière de parler ipésienne" puis-je mener un débat sans juger, sans faire un match à la surencher d'arguments ou encore suis je quelqu'un comme tout le monde ? Pas facile ca ! Suis je quelqu'un comme tout le monde avec mes forces, mes faiblesse, mes changements, mes limites mon art ou suis je... mieux que les autres ?
Ca ne m'empeche pas de vivre et quelque part plutot bien meme. Finalement j'ai développé des spécificités, j'ai tenté de "faire avec". Et puis parfois il y a des rechuttes, alors pourquoi pas se pourrir à l'anciene comme on le fait sur ce sujet.
Mais pour s'en liberer ou au pire "faire avec" ce que j'ai trouvé c'est de l'identifier, le reconnaitre sinon je reste victime.
Et alors apres tout qu'est ce qui m'empeche de douter que Mme D n'était pas de la partie ? Qu'est ce qui empeche à ceux qui le savent d'affirmer l'honneur de sa mémoir car au fond il y avait de l'amour. Vous avez remarqué comme on n'a jamais beaucoup parlé d'amour dans cette école. De fantasmes oui beaucoup mais d'amour...
Intéroger les évidences me semble aujourd'hui necessaire. Finalement il en ressort pour que selon une version Mme D n'était pas de la dérive et tant mieux. Je préfere un forme de réponse à rien. C'est mon fonctionnement et je respecte celui qui ne fonctionne pas comme ca. Tant mieux pour lui et tant mieux pour la diversité.
Alors, ancien élève, tes propos, je les attends toujours. Quand ça chauffe, tu te débines.
RépondreSupprimerC'est fascinant. De te lire, j'ai l'impression de ressentir ce qu'a pu éprouver Dian Fossey... Quoi qu'il en soit, il y a des pistes de réflexions, comme j'ai pu te le dire, qui malgré ma crétinerie me font me poser certaines question, pour en revenir à ta question initiale. Pour commencer, il me semble assez clair que je provoque chez toi une interrogation concrète dans mon dernier commentaires quand j'évoque des pistes de réflexions. Mais si tu réfléchis un tant soit peu, tu comprendrais, mais bon en tant que juge de la bêtise humaine, tu ne peux peut être pas prendre ce recul.
RépondreSupprimerJe préfère revenir tout d'abord sur ton dernier commentaire "souvenir anonyme"... Tu prétends que je me débine??? Prends les choses comme cela plutôt: te répondre c'est le genre d'activité que je fais après avoir sorti les poubelles, tellement ton commentaire me semble important et me touche... Si je me débinais, il n'y aurait plus de blog! Et encore moins de réponse à tes commentaires de si haut niveau. Mais en voila une assez sommaire, de réflexion, car je ne pense pas que tu veuilles entendre ma réponse dans son intégralité car sinon, la honte de toi et de tes actes te paraitra alors de manière si évidente que tu risques de frôler la dépression, à défaut d'y tomber.
Quoi qu'il en soit, pour te donner un avant goût:
Tu me traites de crétin, et tu me demandes des explications??? C'est bien singulier de la part de quelqu'un qui me confronte à de tels jugements. Réfléchis deux secondes,et dis moi imagine que tu considères quelqu'un comme un crétin. Tu lui demandes des explications? Si c'est le cas, et c'est ce que tu fais, tu as une bien faible estime de toi même.
Voila donc une piste de réflexion, puisque tu le réclames. Pour les autres, relis toi, et réfléchis. Tu y arriveras peut être. J'arrête là, tu ne vas pas apprécier sinon. Avant de répondre, lis plusieurs fois, histoire de comprendre, et donc de répondre quelque chose de plus censé que tes précédents commentaires qui comme je le présage seront bientôt supprimés étant donné ton flagrant courage.