dimanche 2 décembre 2007

Point

Un petit point, avant de continuer, ou plutôt d'embrayer, de passer la seconde et de mettre le pied dedans. Vous allez voir comme ça va loin.

Pour vous donner les thématiques générales qui seront abordées par la suite, laissez moi vous dire que tout cela a trait avec des évènements sordides, glauques, où se mêlent escroquerie et arnaques de loosers, manipulation, torture mentale, folie, déchéance, sectarisme, humiliations, destruction de l’individu, tricherie, mensonge, exploitation de mineures... Et j’en passe malheureusement.

Il est vrai que pour l’instant, vous ne pouvez que me croire sur parole. Mais je vais étayer chaque chose par des articles de journaux, par mon expérience dans cette école.

Aujourd’hui, l’IPES, c’est un peu plus d’une demie douzaine de personnes qui vivotent dans un coin en Europe, sans que l’on ne sache trop où. Plus quelques invétérés frustrés de ne plus être dans cette fantastique aventure (pardon pour l’ironie). Un peu à l’image des agents secrets dormants que l’on voit dans les films d’espionnage. Je vous donnerais plus tard les adresses pour les identifier. Vous verrez, c’est des minables.

L’IPES ce n’est plus rien aujourd’hui. Du vent, des promesses envolées, des mensonges qui ont construits (détruits en fait) plus d’un (et plus d’une d’ailleurs).

L’IPES n’existe plus.

A propos. Je vous ai parlé d’un Blog, au début de celui-ci. Un Blog qui m’a fait réagir. Voici donc son adresse, pour ceux qui ne le connaissent pas déjà :

http://faychemli.blog4ever.com/

Ce Blog a été fait par Chemli. M’a dit un de ses proches qui ne l’est plus aujourd’hui. Attention la frime et la prétention. Allez voir, si vous connaissez pas, c’est l’hystérie.

Pareillement je commenterai ce Blog, à l’avenir. Si vous avez des questions, vous connaissez mon mail !

Un petit point, donc, pour vous dire que cette histoire, bien qu’elle se commence sous des allures assez rose, plonge dans le sordide, le dégoûtant, le répugnant, l’ignoble, le malpropre,l’immonde, l’abject, l’infâme, l’infect, le sale, le nauséabond, le bas, l’obscène, le grossier, l’impur, le vil, l’ordurier, l’innommable, le fétide, l’inconvenant, l’immoral, l’indécent, le cochon, le puant, l’ignominieux, l’écoeurant, le malhonnête, et j’en oublie.

J'oublie un dernier truc. J'ai pu voir quelques films que la troupe a commis. Chacun mérite un post. Ca mérite vraiment que j'en parle.

5 commentaires:

  1. ouaou !!! en tant que ancien eleve de l'ipes je tombe sur le cul de lire autant de qualificatifs aussi sombre sur mon ancienne ecole.
    Dommage que je ne soit pas rester suffisament longtemps pour assister au bouquet final.
    Et peut m'importe le destin tragique de l'ipes, pour moi se fut une tout autre experience.

    A l'epoque l'ecole, moi j'en avais rien a foutre, ipes ou pas ipes.

    Et le plus beau justement c'etais qu'a l'ipes personne ne me faisait chier question niveaux scolaire. ni les profs, ni les "cadres", ni meme mes parents....un petit coup de spectacle et hop tout etais regler.
    Alors oui je veux bien entendre parler d'echec de l'ipes coté scolaire,en tout cas pour moi l'ipes n'a pas ete determinent. Et sans exagerer mon niveaux n'a pas fondamantalement progresser durant mes années ipes, je pense sincerement que j'aurais produits plus de boulot dans une ecole normale.
    Mais question "epanouissement" alors la pardon, l'ipes c'etais l'endroit ou il falais etre pour bien s'eclater. Entre les exercises de nunchacou et de couteau papillon depuis rue de la gare a Andresy et jusque au delirant demenagement emenagement a Avernes. Que de souvenir et de rencontre memorable.

    Maintenent,lorsque que je vois des termes ultra dur que sont ceux que vous ennoncer dans votre blog "escroquerie et arnaques de loosers, manipulation, torture mentale, folie, déchéance, sectarisme, humiliations, destruction de l’individu, tricherie, mensonge, exploitation de mineures"
    et bien je me dit a moins biens sur que tous soit verifiable et authentique. Que vous nous preparer la une jolie mise en scene pathetique Mr le blogger.

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  2. Ouaou, comme tu dis.

    Tu deviens compréhensible. Au moins un peu plus que dans ton premier message.



    C'est un peu facile de dire que tu n'en as rien à foutre de l'IPES, car tu sembles pas être sortit complètement indemne. Ce n'est pas un reproche. Moi aussi en un sens ça m'a marqué, et j'ai plein de bons souvenirs. Mais je bondis face aux mensonges de cet autre Blog que j'évoque. Donc je présente ma trajectoire, comme je l'ai dit au début, dans cette école. Avec un certain recul.



    En revanche je dois t'avouer que je n'ai pas connu l'époque Andrésy. J'étais à Avernes du début à la fin. De l'arrivée de cette école à Avernes, jusqu'à l'année où Chemli est parti en préventive. Il s'est passé des choses troublantes, et assez violentes à l'IPES. Mais tu sembles ne pas avoir été "trop" marqué par cette école. Bien que… Mais bon passons. Tu as du prendre à l'IPES juste ce qu'il fallait pour passer une adolescence confortable, et tu t'es bien marré. Tant mieux pour toi. Mais tu ne peux pas imaginer le mal qui a été fait. J'espère en revanche qu'aujourd'hui ce relâchement intellectuel de l'IPES ne te nuit pas trop. tu t'es servis de l'IPES à ta manière. Mais je doute quand même que tu en ais autant rien à foutre de l'IPES... Hein le barbare?



    Pour ce qui est des termes utilisés dans le Blog, je dois malheureusement dire que c'est la vérité. Je ne peux tout diffuser en un seul message. C'est ce que vais présenter ici. Les articles des journalistes que j'ai recueillis sont édifiants. De plus, j'y suis resté presque cinq ans, mecs, et je crois que j'ai du passer plus de temps à l'IPES qu'en dehors durant ces années (un peu à cause du contexte) et je les ai côtoyé les ipésiens de tous bords. Des modérés aux fanatiques, les discussions allaient tambours battants, on argumentait, se justifiait, se contredisait, jouait... Je me marrais bien aussi là bas. Mais avec en permanence le risque de tomber dans la clique, et de s'oublier. J'ai passé mon temps à essayer de comprendre, tant au travers des discussions, que des cours, ceux des profs ou ceux donnés par Chemli. Evidemment, je parlerai plus tard de ce prosélytisme constant.

    Sinon, je suis peut être pathétique, pendable, et tous les noms d'oiseaux que l'on voudra me faire porter, oui peut être. Mais j'en ai rien à foutre. Je suis là pour raconter un truc dont la finalité t'échappe complètement. Tu ne sais pas ou je veux en venir. Tu verras bien. Mais pour l'instant je vais recommencer à raconter des trucs. Cet épanchement restera unique. Mais le descriptif que je vais présenter, j'en ai peur, rappellera ce que j'ai pu citer.

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  3. Cher "Barbare" (votre pseudo fait référence à une des pièces de Fay Chemli, n'est-ce pas ?... )

    J'aimerais réagir à votre dernier message. Les faits, ou plutôt conséquences ou "termes", énoncés par le blogger sont vérifiables. Dans cette optique, je vous conseillerais de consulter les archives de certains quotidiens nationaux et journaux régionaux ayant couvert les faits entre 1993 et 1999.

    Maintenant, que vous ayez des bons souvenirs de franches rigolades, comme beaucoup j'en ai également. Ne garder que cela de l'IPES, libre à vous ! C'est votre droit le plus légitime et le plus élémentaire.

    Mais, sachez qu'en coulisses, c'était et cela reste (peut être encore) une toute autre histoire...

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  4. Bonjour,

    merci pour votre message.

    Juste une précision. Il semble, selon différentes informations, que l'aventure continue quelque part en Europe de l'ouest. Mais l'équipe se réduit comme une peau de chagrin.

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  5. Sordide ironie de l'histoire qu'après avoir si hardemment voulu se détacher de la médiocrité collective, l'étoffe qui devait revêtir les surhommes s'est révélée la trame qui tissait des histoires de cul, de pouvoir et de fric.

    Rien de très original en somme, on peut changer le décor, le peindre en rose, mais les hommes restent des hommes.

    Ne jamais l'oublier, comme disait je ne sais plus qui, si haut qu'on soit perché, on n'est jamais assis que sur son cul.

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